Depuis l’émergence de la pandémie de COVID-19, une nouvelle question a surgi : le COVID-19 contracté à l’hôpital peut-il être considéré comme une infection nosocomiale? Le Tribunal administraif de PARIS a jugé que OUI.
Il y a un risque d’infection nosocomiale après chirurgie du rachis. Faites vous défendre par un avocat spécialisé à Aix en Provence afin de percevoir une juste et équitable indemnisation.
L’importance de consulter un avocat spécialisé en patrimoine pour les divorces impliquant des couples à hauts revenus ou gros patrimoine. Grâce à une expertise en droit des sociétés, liquidation du régime matrimonial, et en fiscalité, votre avocat spécialisé à Aix en Provence vous guide à travers les aspects complexes de votre séparation, en négociant efficacement vos intérêts.
Un patient avait subi la pose d’une prothèse de hanche, qui s’était révélée défectueuse après l’opération. Cette défectuosité avait entraîné des douleurs persistantes, nécessitant une nouvelle intervention chirurgicale. Le patient a donc engagé des actions en responsabilité tant contre le producteur de la prothèse que contre le chirurgien qui l’avait implantée.
Infection nosocomiale à l’occasion d’une arthrodèse. Faites vous défendre par un avocat spécialisé.
Le régime juridique de l’infection nosocomiale est favorable aux victimes. Pour autant, il faut impérativement être accompagné, dès l’expertise médicale, par un avocat spécialisé, car des éceuils peuvent survenir dans la défense du dossier, comme par exemple une expertise médicale défavorable, et l’avocat devra se battre pour obtenir la légitime indemnisation. Focus sur l’arrêt de la Cour d’Appel de Grenoble du 26 mars 2024.
Une infection nosocomiale est un germe infectueux attrapé durant une période d’hospitalisation en hôpital public ou en clinique privée . C’est ce qu’on appelle une infection associée aux soins. Pour que l’infection soit qualifiée d’infection nosocomiale, il faut que le germe infectieux soit absent lors de l’admission du patient.
Lors de la mise en place d’une prothèse, en particulier une prothèse articulaire comme celle de la hanche, le risque d’infection est accru, notamment en raison des matériaux étrangers introduits dans le corps et de l’invasion chirurgicale nécessaire à l’implantation.
Si la victime souffrait d’un état antérieur latent, c’est-à-dire non révélé, et que cet état antérieur a été révélé à l’occasion des séquelles de l’accident ou erreur médicale, la jurisprudence considère que la victime a un droit total à indemnisation